aussi haut que soit les cieux,
aussi loin que me mène ce chemin,
je le suivrai depuis les nuages:
il n'y a pas de raison, il n'y en aura jamais.
aussi loin que tu sois, je reviendrai,
aussi loin que ce sois, j'y reviendrai,
car c'est la bas que tu est,
ange déchu sur terre.
tes larmes sont nos océans, tes sanglots nos terres.
tes soupirs les vents qui pousse nos nuages.
tel etait les chants de ceux laissés derrieres toi.
mais malgré ma blessure,
malgré tes mots,
j'avais decider de te sauver de toi.
te rappelles,
lorsque tu t'est reveiller a la maison,
de ce petit garçon aux ailes brulés par sa passion pour un ange?
aujourd'hui il se tient a nouveaux debout,
pres a t'avouer ses sentiments, mais, une question l'etrangle:
qui est tu ? [left]